Franck Collard et Evelyne Samama
Éditions l'Harmattan
376 pages ; 24 x 15,5 cm ; broché
Date de parution 19/11/2018
ISBN 978-2-343-15931-7
Miser sur la couleur pour étudier l’histoire des corps permet d’explorer des systèmes de représentation d’une grande richesse et d’une forte cohérence, fussent-ils devenus totalement obsolètes aujourd’hui. Après avoir aimanté l’attention des médecins qui surinvestirent parfois sur elle dans les temps anciens, la « chromie » corporelle aux infinies variations ouvre aux chercheurs d’aujourd’hui un vaste champ de réflexion. Les contributions ici réunies en parcourent les principaux espaces, au moyen d’approches variées
et complémentaires.
Divisé en trois sections, le propos s’interroge sur les modes de signification de la couleur corporelle. Puis il explore les aspects pathologiques et physiologiques des maladies, des tempéraments ou des aspects « colorants » ou « décolorants », ainsi que les raisonnements tenus pour expliquer ces manifestations chromatiques. Enfin est présenté l’imaginaire des couleurs corporelles, manifesté par des textes et des images largement conditionnés par des valeurs symboliques.
et complémentaires.
Divisé en trois sections, le propos s’interroge sur les modes de signification de la couleur corporelle. Puis il explore les aspects pathologiques et physiologiques des maladies, des tempéraments ou des aspects « colorants » ou « décolorants », ainsi que les raisonnements tenus pour expliquer ces manifestations chromatiques. Enfin est présenté l’imaginaire des couleurs corporelles, manifesté par des textes et des images largement conditionnés par des valeurs symboliques.
Le colloque s’est tenu à l’université de Versailles – Saint-Quentin-en-Yvelines, à Paris et à Nanterre les 14, 15 et 16 mars 2018 avec le soutien de la Maison des Sciences de l’Homme (MSH) Paris-Saclay, de deux laboratoires*: le CHiSCO (université de Paris-Ouest – Nanterre) et DyPaC (université de Versailles – Saint-Quentin-en-Yvelines), et de l’Ecole doctorale (ED 395) de l’université de Paris-Nanterre. La MSH Paris-Nord et l’Ecole doctorale ont permis, de surcroît, la publication de ces actes.
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