Correspondance complète et autres écrits de Guy Patin
édités par Loïc Capron
Une nouvelle édition entièrement revue et considérablement augmentée
1 601 lettres, 189 annexes et autres écrits, 25 343 notes, 59 160 entrées d’index
En libre accès sur le site de la Bibliothèque interuniversitaire de santé http://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/
Mise en ligne le 4 mars 2015, en libre accès, la Correspondance de Guy Patin, éditée, commentée et
indexée par Loïc Capron, a permis aux chercheurs et aux curieux de découvrir un trésor d’informations sur le XVIIe siècle : médecine en tout premier, puisque c’était le métier de Patin ; mais aussi politique, vie quotidienne, librairie, religion, histoire, etc., puisqu’il ne mettait aucune borne à sa curiosité.
Désireux d’aller jusqu’au bout de notre projet initial et encouragés par le bon accueil des internautes, nous proposons aujourd’hui la Correspondance complète et autres écrits de Guy Patin qui s’est construite et étoffée au fil des quatre dernières années. Parmi les dernières nouveautés :
– 504 lettres latines qui forment les échanges connus de Patin avec 75 de ses correspondants européens ;
– 21 consultations manuscrites et 11 observations médicales imprimées que Patin a consignées ;
– son Traité de la Conservation de santé, publié en 1632 ;
– les Commentaires de la Faculté de médecine de Paris qu’il a rédigés durant son décanat (1650-1652),
précieux manuscrit académique que voici exhumé des archives.
Tout le latin a été fidèlement transcrit, puis traduit en français.
Comparée à la précédente édition, celle qui paraît aujourd’hui s’est enrichie de 546 lettres, 152 annexes et autres écrits, 7 385 notes et 15 789 entrées d’index.
Guy Patin, docteur régent et doyen de la Faculté de médecine de Paris, professeur au Collège royal de France (1670)
Toutes ces additions suivent les règles rédactionnelles adoptées pour la première parution de 2015 et
s’intègrent naturellement à elle, dans une volonté de croissance parfaitement harmonieuse : textes,
commentaires et index forment un seul et même corpus, où tout a été mis en oeuvre pour faciliter la
navigation, les recherches et les découvertes, avec le souci constant d’expliquer minutieusement le contenu des textes et les références qu’ils citent à profusion, et d’améliorer l’exactitude des informations fournies.
Merci pour la visite que vous rendrez à ce monument d’histoire médicale et littéraire que nous a légué Guy Patin, ce sidérant Diafoirus dont la talentueuse plume excuse heureusement la cécité scientifique.
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