Villes d’eaux d’Ile-de-France. Dictionnaire historique des sources d'Île-de-France utilisées à des fins thérapeutiques, hygiéniques ou salutaires
Thierry Lefebvre et Cécile Raynal
Glyphe
2016
150 pages
150 pages
ISBN 978-2-35815-184-9
Le
XIXe siècle et le début du XXe furent le théâtre d’une véritable « ruée
vers l’eau ». Plusieurs régions riches en patrimoine sourcier
profitèrent de cet engouement : l’Auvergne, les Pyrénées, etc.
Moins généreusement dotée, l’Île-de-France ne bénéficia pas, ou trop peu, de cette dynamique nationale. De nos jours, hormis l’établissement thermal d’Enghien-les-Bains et quelques eaux de source embouteillées à Brignancourt, Chelles, Franconville et Saint-Lambert-des-Bois, les traces de cette époque entreprenante sont modestes.
Pourtant, les initiatives furent nombreuses : des sources franciliennes ont été exploitées pour leurs vertus bienfaisantes alléguées, sous forme de bains ou sous forme de boissons consommées directement au griffon ou embouteillées, parfois même dans le cadre de rituels de dévotion.
Publié avec l’aide de l’université Paris Diderot (Cerilac) et de l’association Actinopolis (actinopolis@laposte.net)
Moins généreusement dotée, l’Île-de-France ne bénéficia pas, ou trop peu, de cette dynamique nationale. De nos jours, hormis l’établissement thermal d’Enghien-les-Bains et quelques eaux de source embouteillées à Brignancourt, Chelles, Franconville et Saint-Lambert-des-Bois, les traces de cette époque entreprenante sont modestes.
Pourtant, les initiatives furent nombreuses : des sources franciliennes ont été exploitées pour leurs vertus bienfaisantes alléguées, sous forme de bains ou sous forme de boissons consommées directement au griffon ou embouteillées, parfois même dans le cadre de rituels de dévotion.
Publié avec l’aide de l’université Paris Diderot (Cerilac) et de l’association Actinopolis (actinopolis@laposte.net)
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