Vous avez dit mandragore? Accueillir et soigner en Occident
Exposition temporaire
8 juillet – 11 novembre
8 juillet – 11 novembre
Musée de Saint-Antoine-l'Abbaye
Le Noviciat
38160 Saint-Antoine-l'Abbaye
Ultime volet d’un cycle de recherche initié en 2016 autour de l’exposition Bâtisseurs d’Éternité, le musée de Saint-Antoine-l’Abbaye organise cette exposition permettant de mettre en lumière l’histoire originelle de la vocation caritative de l’un des plus puissants ordres hospitaliers de l’Europe médiévale.
Replacée dans le contexte historique du XIe siècle à la fin du XVIe siècle, cette nouvelle présentation entend réactualiser les connaissances sur les missions autant que sur la typologie des structures d’accueil et de soins développées par les hospitaliers de Saint-Antoine. Cet ordre apparu dans le sillage d’autres institutions hospitalières se tourne dès son origine vers la charité, s’ouvre à l’évolution de la pratique médicale et plus spécifiquement chirurgicale comme à la diffusion d’un recours généralisé aux substances végétales, animales ou minérales.
De la charité aux soins, de l’hôtel-Dieu à l’hôpital, ils feront du jardin, à l’instar de leurs contemporains, un prolongement naturel, magnifié dans les manuscrits comme dans les traités de botanique.
Le Noviciat
38160 Saint-Antoine-l'Abbaye
Ultime volet d’un cycle de recherche initié en 2016 autour de l’exposition Bâtisseurs d’Éternité, le musée de Saint-Antoine-l’Abbaye organise cette exposition permettant de mettre en lumière l’histoire originelle de la vocation caritative de l’un des plus puissants ordres hospitaliers de l’Europe médiévale.
Replacée dans le contexte historique du XIe siècle à la fin du XVIe siècle, cette nouvelle présentation entend réactualiser les connaissances sur les missions autant que sur la typologie des structures d’accueil et de soins développées par les hospitaliers de Saint-Antoine. Cet ordre apparu dans le sillage d’autres institutions hospitalières se tourne dès son origine vers la charité, s’ouvre à l’évolution de la pratique médicale et plus spécifiquement chirurgicale comme à la diffusion d’un recours généralisé aux substances végétales, animales ou minérales.
De la charité aux soins, de l’hôtel-Dieu à l’hôpital, ils feront du jardin, à l’instar de leurs contemporains, un prolongement naturel, magnifié dans les manuscrits comme dans les traités de botanique.
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