Paul Mazliak
Éditeur : Hermann éditeurs des sciences et des arts
Collection / Série : Histoire des sciences
Parution : 23 septembre 2013
208 pages ; 22 x 15,8 cm ; broché
ISBN 978-2-7056-8752-6
Par ses deux grandes découvertes : la circulation du sang et l’épigenèse, c’est-à-dire la mise en place progressive de tous les organes au cours de la vie embryonnaire, William Harvey (1578-1657) réalisa une franche rupture avec la pensée des Anciens (Aristote, Galien) encore enseignée, à son époque, dans toutes les universités européennes.
Le chef-d’œuvre de William Harvey, Exercitatio anatomica de motu cordis et sanguinis, publié en 1628, dans lequel il expose ses expériences sur la circulation du sang, est analysé en détail par l’auteur. Le second ouvrage de William Harvey, publié en 1651, sur « la génération des animaux » offre l’occasion de retracer l’histoire du grand conflit entre partisans de la préformation des embryons et partisans de l’épigenèse, conflit qui traverse toute l’histoire de la biologie et qui se prolonge de nos jours avec les controverses sur le «programme génétique de développement ».
Le chef-d’œuvre de William Harvey, Exercitatio anatomica de motu cordis et sanguinis, publié en 1628, dans lequel il expose ses expériences sur la circulation du sang, est analysé en détail par l’auteur. Le second ouvrage de William Harvey, publié en 1651, sur « la génération des animaux » offre l’occasion de retracer l’histoire du grand conflit entre partisans de la préformation des embryons et partisans de l’épigenèse, conflit qui traverse toute l’histoire de la biologie et qui se prolonge de nos jours avec les controverses sur le «programme génétique de développement ».
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